EDITORIAL du 1er AVRIL 2020
Vendredi 3 avril 2020... sera le premier vendredi du mois depuis un an et demi où ne nous rassemblerons pas pour demander l'interdiction des pesticides, en raison de la pandémie de coronavirus.
La diffusion de ce virus montre bien à quoi mène l'intensification des échanges internationaux, le tourisme de masse, la division mondiale du travail.
Dès à présent il faut penser à l'après-épidémie.
Continuerons nous comme avant ou bien nous engagerons nous dans la voie de la re-localisation (en premier lieu celle de la fabrication de masques et de médicaments), de la production de proximité, du développement des services publics et des hôpitaux... de la protection du vivant, de l'eau, de l'air... et de l'interdiction des pesticides ?
Les Coquelicots sont toujours là !
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